: Toi, ce sont ces mains qui trainent Le long de mon corps Toi, c'est la vie qui s'enchaine A la mort Pourtant toi C'est bien plus que ma vie Bien
le, il deambule Sans jamais savoir ou il va Il marche comme un somnambule Et les gens le montrent du doigt Le monde entier file la haine Le ciel la-haut
Le samedi quand on a oublie l'heure Que le metro a cesse son va-et-vient Sans nous presser en marchant vers ta demeure On est heureux avec des riens
Parc' que t'as les yeux bleus Que tes cheveux s'amusent a defier le soleil Par leur eclat de feu Parc'que tu as vingt ans Que tu croques la vie,
non Arrange-toi pour etre en tete Et tomber sur le bon filon On a trouve de l'or disait les journaux En premiere page et le cri se repercutait
Tout le jour tu es loin de moi Mais lorsque tombe la nuit Que tu viens dormir pres de moi J'oublie toute ma vie Quand se ferment sur notre amour Les
coeur qui bat Comme accroche a son corsage La vie qui veut rire aux eclats Y'a ses vingt ans qui vagabondent Emportant mon coeur sur ses pas Et je raconte a tout le
Toi, ce sont ces mains qui trainent Le long de mon corps Toi, c'est la vie qui s'enchaine A la mort Pourtant toi C'est bien plus que ma vie Bien
mi Sur le pallier Le trou d'serrur' joue a cache-cache Avec ma clef Ma maison a un' drol' de mine Tous les objets font philippine J'ai bu J'ai joue et j'ai tout mis sur le
nature est chargee d'ennuis La-haut tout est vetu de gris Le ciel est boudeur Le nez aplati au carreau J'attends, laissant couler le flot de mes pleurs
tenebres Je ne veux plus entendre parler de bonheur Mais que le chant du vent devienne un chant funebre Pour que le monde entier partage ma douleur L'orgueil et le
Rentre chez toi et pleure Moi j'ai tant pleure pour toi J'en ai passe des heures A me tourmenter Sans pouvoir t'oublier Laisse couler tes larmes
Tu es toute ma vie Je ne sais pas pourquoi Tu n'es pas tres jolie Mais je t'aime comme ca Tes joies sont enfantines Tes gestes maladroits T'as
amour a fleur de coeur Et des crevees d'angoisses Qui me surpassent Et c'est normal Ca me fait mal Quand vient le jour Car j'ai le coeur a fleur
de l'avenir de notre planete Qui pourrait se desagreger, tomber en miettes Nous partirons le coeur libre et les bras ouverts Les yeux perdus dans tout le
tes plaintes Faisant jallir de toi des rales et des mots Puisque sur sa couche tu nies mon existance En oubliant mon nom pour mieux crier le sien
Il suivait des inconnues Chaque soirs le long des rues Pour leur dire l'air ingenu Doubi, doubi, doubi, douba Il portait un feutre taupe