Y'a tellement de dieux sur terre Y'en a surement un qui veillera sur nous Qui veillera sur notre amitie Qu'on veut garder sans se mettre a genoux La
Aucun nuage n'etait venu faire des ombrages Et bien tant mieux car ils n'etaient pas invites Pour voir les feuilles qui colorent le paysage L'automne
Il sera fort il sera le plus grand Jamais plus un enfant Il aura l'allure d'un geant Le meilleur des amants Il ne versera jamais de larmes Et ca meme
Tu vis seul sans amants Tu vis seul sans tourments Tu ecoutes tomber la pluie Tu oublie la ville qui crie Hey, crois-tu a la danse? La danse a deux
Ils n'avaient qu'a sourire Moi je pouvais leur offrir Tout ce qu'ils voulaient Tout ce qu'ils desiraient Parce qu'il me semblaient bons Ils m'ont tous
Elle me tire de mon sommeil dans ses bras la radio Elle est vetue de caprice et de vice la radio Elle est le puits, je suis la soif, elle est l'eau Je
Hey la vie c'est a toi que je parle Je t'ai maudit tu m'as fait souvent mal Aujourd'hui je crois que je reviens De quelque part ou tu ne me disais rien
Les annees passent les annees oublient Je perds la grace je trouve l'ennui La mort m'attends mais ca j'ai le temps En attendant la vieillesse me surprend
Le mirador c'est l'observatoire La tour que l'homme batit Afin d'atteindre en reve peut-etre Une vie meilleure Mais parfois et parce que ses mains sont
Tu as tisse nos promesses je m'en suis fait un habit Que je porte chaque jour Pour qu'elles ne sombrent dans l'oubli Tu eclaires mes nuits comme un lune
L'amour est pas en point On l'a trop plie Il pourrait briser Notre histoire inventee Si on passait la nuit a faire les 400 coups La nuit porte conseil
Fa La La Tant qu'la neige tombera ce soir Fa la la la la la la la la Et qu' le ciel aura son voile noir Fa la la la la la la la la Ils garderont en eux
Gentiment tu t'approches de lui Comme on s'approche d'un lit Tu ne parle pas Tu lui souris et son coeur crie Vas t'en pas vas t'en pas On se croit mille
La route est longue quelquefois je doute De ce paradis que tu nommes pays d'ivoire Et quand je pleure quelques fois tu m'offres Ton epaule en me parlant
Ou sont-ils alles ces gens tranquilles? Ou sont-ils partis ces hommes et ces femmes? Et pourquoi? Et pourquoi? Si j'etais le Bon Dieu je leur donnerais
Pourquoi avec l'ami un soir On regardait le sable filer si lentement Dans le sablier de l'abandon Qui se meurt pendant que nait la nuit A la main un
J'ai ouvert ma porte avec la cle des champs J'ai quitte la ville pour respirer Je me suis allonge au pied d'un arbre Ce geant de la foret me minuscule
J'aimerais te raconter une histoire Que seuls les dieux connaissent Ca parle de toi, ca parle de moi Mais ca ne parle pas de lui L'histoire commence