Songtexte: L'homme Parle. De L'autre Côté De La Mer.

:
Quand je regarde de l'autre cote de la mer

mon instinct de survie me dit de partir loin d'ici
braver les flots dechaines quitte a perdre la vie
j'lance un appel a l'aide puisqu'il est encore temps
qui traverse les frontieres emporte par le vent
orphelin du desespoir je reve d'exil et d'argent
les hommes de pouvoir qui s'disent intelligent
parmis les espoirs les plus fous j'imagine une vie meilleure
l'espoir de decouvrir comme les grands voyageurs

- - - - - - - -

refrain

un jour si la vie me prend dans ses bras
a moi le bonheur ephemere ou bien la mer m'emportera

quand je regarde de l'autre cote de la mer
dans mes reves je me perds
quand je regarde de l'autre cote de la mer
je pleure et j'espere

- - - - - - - -

sur les plages de l'espoir les reves ne durent pas plus d'un soir
a chacun son histoire la mienne est difficile a croire
j'me souviens d'la premiere fois
a la lueur de la lune
l'espoir est ne tout au fond d'moi j'ai vu la mer apres les tunes
toute l'eau du monde jamais ne suffira a calmer ma soif d'sortir de la
c'est p'tre fou mais moi j'y crois
tout ces visages me regardent aux creux des vagues
j'ai verse bien des pleurs mais l'inconnu me fais pas peur

j'ai vu sur une terre d'errance j'm'en fou je tente ma chance
si jamais sur mon chemin l'ciel s'assombrit
dites a ma mere que c'etait ecrit
je defierais la mer autant d'fois qu'il le faut
le desir d'embrasser la vie me colle a la peau
par dessus les montagnes et les fleuves
qu'il vente qu'il neige ou bien qu'il pleuve

refrain

plus tard je reviendrais
oh non jamais je n'oublierais
mes freres mes s?urs mon sang ma chair
ma terre mes compagnons d'misere
on sait bien que la vie nous fera pas de cadeaux
on cherche dans le sillage des bateaux
les clans le destin d'l'eldorado les visages des flots
j'ai voulu vous temoigne ainsi qu'la peur d'etre arreter
la faim la soif le tracas a longueur de journee
mais la jeunesse me donne des ailes oui messieurs
regardes bien cette etincelle briller dans mes yeux

refrain

(Merci a rachou pour cettes paroles)