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Songtexte: Marc Lavoine. Volume 10. Les Dunes Blanches.


Sur les dunes blanches, je derive, je fais des reves entre tes hanches
Sur les dunes blanches, je vois tes seins, je les dessine, je me dehanche

Il suffit d'y croire et l'on peut s'y voir, si tu savais comme je flanche
Sur les dunes blanches, le lundi je m'allonge jusqu'au dimanche

Sur les dunes blanches, la lumiere passe, entre nos bras comme dans des branches

Il suffit d'y croire et l'on peut s'y voir, si tu savais comme je flanche
Il suffit d'y croire et l'on peut s'y voir, ma vie fait la planche

Sur les dunes blanches, je divague, les ombres dansent, les arbres penchent
Sur les dunes blanches, on a soif, on se boit et on s'etanche, on s'etanche

Sur les dunes blanches, pas de regret, pas de remords et sans revanche
Il suffit d'y croire et l'on peut s'y voir, si tu savais comme je flanche

Sur les dunes blanches, je m'envole sur ta peau folle puis je m'epanche
Sur les dunes blanches, on se tient par la taille, par la manche

Il suffit d'y croire et l'on peut s'y voir, si tu savais comme je flanche
Il suffit d'y croire et l'on peut s'y voir, ma vie fait la planche

Sur les dunes blanches, on se tient par la taille, par la manche
Sur les dunes blanches, on se couche, on se cache, on s'avalanche

Sur les dunes blanches, entre sable et ciel, c'est l'amour qui tranche
Sur les dunes blanches, on se touche tant qu'on s'attache, on se declenche