Songtexte: Maxime Le Forestier. Inutile.
Rien n'sert de courir, quand on court apres rien
Je sais des chiens savants qui sont quand meme des chiens
Lancez plus les baballes
J'ai plonge dans l' sommeil des reptiles
J'ai deja dormi plus mal
Faut plus qu'on me change les piles
Inutile
Rien n' sert de courir, demarcher sur les mains
Propositions de jobs defuntes, oh, il a feint
J'irai plus au charbon
J'y reflechis, ca m' donne mauvaise mine
Quand on y pense au fond
Entre pierre et fossile
Inutile
Le porte-parole d'une femme de l'interieur estime
alors dix ans trois jours deux heures
Le bonheur
J'aime trop les rendez-vous pour les r'mettre a perpete
Trop les lapins pour les poser n'importe ou
Inutile d'insister,
J'ai oublie l'air
Perdu la parole aussi
Nous sommes entres
Dans une pauvre ere
Et la fin d' siecle n'a rien dit
Rabaissez les profils, plus rien a ma taille
Si ma cote veut baisser elle s'ra jamais de maille
J'me caramel de tout
J'me bats plus qu'avec ou pour tes cils
Reveille-moi au cas ou
Il faudrait changer d' ville
Inutile
(Merci a William APERT pour cettes paroles)
Je sais des chiens savants qui sont quand meme des chiens
Lancez plus les baballes
J'ai plonge dans l' sommeil des reptiles
J'ai deja dormi plus mal
Faut plus qu'on me change les piles
Inutile
Rien n' sert de courir, demarcher sur les mains
Propositions de jobs defuntes, oh, il a feint
J'irai plus au charbon
J'y reflechis, ca m' donne mauvaise mine
Quand on y pense au fond
Entre pierre et fossile
Inutile
Le porte-parole d'une femme de l'interieur estime
alors dix ans trois jours deux heures
Le bonheur
J'aime trop les rendez-vous pour les r'mettre a perpete
Trop les lapins pour les poser n'importe ou
Inutile d'insister,
J'ai oublie l'air
Perdu la parole aussi
Nous sommes entres
Dans une pauvre ere
Et la fin d' siecle n'a rien dit
Rabaissez les profils, plus rien a ma taille
Si ma cote veut baisser elle s'ra jamais de maille
J'me caramel de tout
J'me bats plus qu'avec ou pour tes cils
Reveille-moi au cas ou
Il faudrait changer d' ville
Inutile
(Merci a William APERT pour cettes paroles)