Songtexte: Patrick Bruel. Puzzle. Décalé.
:
{Avec Mariza Correa}
Mais uma cancao pra voce
Pra te dizer que estare sempre aqui
Que o tempo pode passar
As em embrancas vas ficar
Vas cantaremos mas uma vez...
Saudades.
Elle etait coincee la depuis trois ou quatre mois,
Une sale histoire, je crois.
Elle aurait bien craque pour une histoire d'amour,
En echange d'un billet de retour.
Elle jouait au poker avec deux, trois dockers,
Dans un cafe de Belem.
Elle m' cherchait du regard comme s'il etait trop tard,
Comme si personne voulait rien voir.
DECALE, isso nao fas mal
DECALE, eu tambem toma, decale moin
Dans ce vieux piano bar, elle chantait tous les soirs.
Ici tout l' monde l'appelait : "la star"
Elle m'a raconte son histoire, mytho ascendant bobards,
Mais moi, j' faisais semblant d'y croire.
Elle avait si souvent du laisser sa tendresse
A de mauvaises adresses.
Elle ne regrettait rien, elle le criait si bien,
Rien de rien.
DECALE, isso nao fas mal
DECALE, eu tambem toma, decale moin
Les verres de cachaca nous donnaient du courage.
On faisait les malins pour pas rester trop sage.
A l'aube on s'est perdus, je l'ai jamais revue.
Je l'ai jamais revue...
DECALE, isso nao fas mal
DECALE, eu tambem toma, decale moin
Mais uma concao pro voce
Pra te dizer que estare sempre aqui
Que o tempo pode passar
As em embrancas vas ficar
Vas cantaremos mas uma vez
{Avec Mariza Correa}
Mais uma cancao pra voce
Pra te dizer que estare sempre aqui
Que o tempo pode passar
As em embrancas vas ficar
Vas cantaremos mas uma vez...
Saudades.
Elle etait coincee la depuis trois ou quatre mois,
Une sale histoire, je crois.
Elle aurait bien craque pour une histoire d'amour,
En echange d'un billet de retour.
Elle jouait au poker avec deux, trois dockers,
Dans un cafe de Belem.
Elle m' cherchait du regard comme s'il etait trop tard,
Comme si personne voulait rien voir.
DECALE, isso nao fas mal
DECALE, eu tambem toma, decale moin
Dans ce vieux piano bar, elle chantait tous les soirs.
Ici tout l' monde l'appelait : "la star"
Elle m'a raconte son histoire, mytho ascendant bobards,
Mais moi, j' faisais semblant d'y croire.
Elle avait si souvent du laisser sa tendresse
A de mauvaises adresses.
Elle ne regrettait rien, elle le criait si bien,
Rien de rien.
DECALE, isso nao fas mal
DECALE, eu tambem toma, decale moin
Les verres de cachaca nous donnaient du courage.
On faisait les malins pour pas rester trop sage.
A l'aube on s'est perdus, je l'ai jamais revue.
Je l'ai jamais revue...
DECALE, isso nao fas mal
DECALE, eu tambem toma, decale moin
Mais uma concao pro voce
Pra te dizer que estare sempre aqui
Que o tempo pode passar
As em embrancas vas ficar
Vas cantaremos mas uma vez
Patrick Bruel
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