Songtexte: Rohff. Massage À La Racaille.
Sachez que ,
Si autant de jeunes se sacrifient c'n'est pas pour rien,
Y a aucun plaisir a se sucider si ce n'est pour assouvir nos fins,
A travers ma voix tu marche dans ma rue,
Et c'que tenten c'est c'que tu voi lyrics tiree d'image crue,
Sa crain message a la racaille les cible de sarko,
Les delinquants les narco trafiquant,
On ve rotte-ca comme l'etat mais rien qu'nos frere tombe,
Esplombe craigne pas c'est lenfer les suplices de la tombe,
Une journee de plus en banlieue rien a faire comme d'hab,
T'appelle un poto de galere une vie de miserable,
En pleine apres midi tu vien te reveiller,
Le visage enfle rien pour t'egayer
Le ciel est gris,
Tout les jours c'est dimanche rien qu'tu maigris,
Pourtant rien qu'tu mange les soucis te ronge t'rend des gris,
Tu crache des glaires toxic,
Vomis du liquide nocif,
Par voix oral ou anal t'est maladif en manque de bif,
Pret a faire le mal dans le mal comme escroquer,
Au risque de finir estropier,
Faire fumer l'escroquer,
Tu mise ta vie sur un coup fouree,
Inconscient dans le fou rire,
T'aimerai que t'est p'tits frere s'en sorte comme ta caisse a la fourriere,
Sa fou rien,
Mais trop de repos engourdit,
Trop de racaille etourdit,
Dans le fourvoyement degourdi,
Mais dans l'ralaam ya pas de baraka ni a la rakba
Sa s'trouve dans les priere les racaille Allah Ou Akbar,
Rdv aux rac pour lire le journal jouer au jeux de hasard,
Se remmetre de sa soiree en fesant la bise au hragal,
Qui entretienne leur reputation quand ds la crapulrie
Avec un humour deplacer dont seules les crapules rit,
Sa rejouit les anes voir les autres faire les gogoles,
Les grandes gueules qui te font passer le temps rien que tu rigole,
Mais finiront allongees au sol,
Avec une balle logee dans le crane,
Enfin quelquechose la dedans toi qu'avait rien dans l'crane,
En plus ils raconte que d'la merde ils ont la cervelle en panne,
Moi les mitos m'font mal au crane,
Poto il me faut un doliprane,
Sa se bart en alcoolo,
On baise la garde a v' comme un clodo,
T'arrive menoter peter aux urgences avec des croc de crados,
On ne sait meme plus parler je sais que vous vous en fichez,
Le visage cacher,
Dans les reportages de condes on ne fait que s'afficher,
Justifier les cliches,
Fiche Fichu le quartier est cuit,
On est tous des maillons faibles c'est desolant comme notre Q.I,
Et meme nos petites reus deviennent des kai faut leur mettre des baffes,
Elle joue les chaudes en centre de reeducation sorti de la maaf,
Devienne des meufs a voyous des michtonneuses a fond dans la came,
Des boites branchees de paname au festival de Cannes,
Elles oublient qui elles sont de qui elles viennent,
D'ou elles viennent tiennent,
Peu de choses de leur meres elle pensent qu'a faire les chiennes,
Se tortiller certaines refuse de se servir de leur deux mains,
De peur d'abimer leur vernis et se sont les meres de demain, (hein)
Ses graves comment l'argent a evincer les vrais valeurs,
Du haut dealeur au voleur,
Se repentir avant le malheur,
Et s'ecarter des troupeaux contaminer qui rejete les precepes,
Rien qu'on accumule les peches qu'on indignes nos ancetres,
Plus de diplome ni de formation plus de carriere sportif,
Pour rester actif,
Monte une assos' a but lucratifs,
Tu peut etre coursier livrer des pizzas a domicile,
Porter des cartons ... au marcher ouais de vigile,
Sinon t'on bras s'illicite mais pas en quinze minutes,
Les smicards les batards te felicite quand tu debute,
Tu sais pertinament que tu tfra peter ya pas de combine,
Tes parents ta copine,
Passent soixante douze heures a la crim,
Emprunte photo traitee au labos,
Les balances sauvent leur peau,
Colabo' des pont investigation a l'hispo,
Tu demmare sur les chapeaux de roues sans chrono,
Vivre tout ce temps pour mourir ree-bou sur des tonneaux,
Une pensee au sucide et aux mitar au lacets,
Depassez par les evenements lassee de ce destin glacee,
Les closes trop frustres ce qui brule leur cellules,
Partent tout seul en promenade s'auto mutile pour une pillule,
Taf une piece de theatre dans les coulisses sa ricane,
Les memes anciens idolatres qui t'avance de la cam,
En centre de detention en caval jusqua la prescription,
En previsoire tenue en laisse par le comite de probation,
Les braqueurs font la queue devant les banques c'est sans espoirs,
Deux trois dans la journee butine au comptoir,
Aux assises c'est les encheres qui dit mieux, "10 15 ans 20ans"
Mes potes on trop residives on se reverra quand on sera vieux,
Bien le thelematon dans la poche,
Ta rater le coche,
Ton destin n'a jamais lever le pied sur la ville de gauche,
A deux quatre vingts sur la A6 si si si sans freins,
Sous flash flashe par le proc choriste du juge au refrain,
Et ta femme te remplacera par un type du meme type qu'est ce tu peux faire,
Il l'acompagnera au parloir srhab t'est son frere,
Ton co-detenu c'est avec qui elle couche,
Qui est la touche,
Tu pense a elle tu touche,
T'est game over sur la touche,
Pour ta daronne c'est bien plus douloureux qu'un valoir fantome,
Elle culpabilise or c'est la rue qui ta filer le symptome,
T'en veux a ton baveux il en demande toujours plus,
Pour fumer faut te coffrer jusqua t'dilater l'anus,
Moi je peux pas te dire j'en ai rien a battre,
Mes frere se rabattent,
Du cote du diable et vivent que pour se habbate,
Pour une tasse ils sabotent pour un client il crabote
A coup d'sabate sans vendre ses pattes,
Dans la violence veulent plus se battre,
Maitenant ils s'abattent sans somation s'enbattent,
La race c'est le pire c'est qu'on s'adapte,
Plus le temps de re-pleu il pleut les air max plein de gadoues,
Ferme la porte du haut il caille wesh sinon t'est un gars d'ou,
Chacun ses antecedents sont jugement son temperament,
Chacun son mandat son parloir son enterrement,
Sa mere en deuil ses peches sa salade,
Ses hessenetes sa cogite ne me raconte pas de salades,
Les ghetto metiers restent illusoirs y en a pas un qu'aboutit,
On gagne pas l'argent a l'assure de ces outils,
La taule t'abbrutit,
Ten veut plu de la raison,
Rafermi t'est mauvaises passions,
Fascine par les ancien et leur expressions,
Ta mere miskina au bord de la depression,
J'appelle "la racaille" une serieuse remise en question,
Pour se ranger ya mieux que l'argent ya la religion,
Se retirer des guettos legions,
Pourquoi pas quitter la region,
Quand t'est au bout du rouleau,
Que le systeme met la tete sous l'eau,
Soulee a chercher du boulot,
Roulee des joins se faire interpeler,
Par ces batards de poulet en chemins,
Dans l'angoisse trainer la poisse comme un boulet,
Comme un ancien qu'a couler,
En chien qui se fait des roulee,
Peur qu'on te dit frangin faut tailler avant de s'ecrouler,
Se faire trouee crouee a vie echouer,
Vivre du RMI sans veritable ami pour te secourir ou te secouer (Hewa hein),
Pour te changer ya pas de formules secretes,
Je suis pas la pour t'inciter mais pour te dire des choses concretes,
Avec veracite.
Si autant de jeunes se sacrifient c'n'est pas pour rien,
Y a aucun plaisir a se sucider si ce n'est pour assouvir nos fins,
A travers ma voix tu marche dans ma rue,
Et c'que tenten c'est c'que tu voi lyrics tiree d'image crue,
Sa crain message a la racaille les cible de sarko,
Les delinquants les narco trafiquant,
On ve rotte-ca comme l'etat mais rien qu'nos frere tombe,
Esplombe craigne pas c'est lenfer les suplices de la tombe,
Une journee de plus en banlieue rien a faire comme d'hab,
T'appelle un poto de galere une vie de miserable,
En pleine apres midi tu vien te reveiller,
Le visage enfle rien pour t'egayer
Le ciel est gris,
Tout les jours c'est dimanche rien qu'tu maigris,
Pourtant rien qu'tu mange les soucis te ronge t'rend des gris,
Tu crache des glaires toxic,
Vomis du liquide nocif,
Par voix oral ou anal t'est maladif en manque de bif,
Pret a faire le mal dans le mal comme escroquer,
Au risque de finir estropier,
Faire fumer l'escroquer,
Tu mise ta vie sur un coup fouree,
Inconscient dans le fou rire,
T'aimerai que t'est p'tits frere s'en sorte comme ta caisse a la fourriere,
Sa fou rien,
Mais trop de repos engourdit,
Trop de racaille etourdit,
Dans le fourvoyement degourdi,
Mais dans l'ralaam ya pas de baraka ni a la rakba
Sa s'trouve dans les priere les racaille Allah Ou Akbar,
Rdv aux rac pour lire le journal jouer au jeux de hasard,
Se remmetre de sa soiree en fesant la bise au hragal,
Qui entretienne leur reputation quand ds la crapulrie
Avec un humour deplacer dont seules les crapules rit,
Sa rejouit les anes voir les autres faire les gogoles,
Les grandes gueules qui te font passer le temps rien que tu rigole,
Mais finiront allongees au sol,
Avec une balle logee dans le crane,
Enfin quelquechose la dedans toi qu'avait rien dans l'crane,
En plus ils raconte que d'la merde ils ont la cervelle en panne,
Moi les mitos m'font mal au crane,
Poto il me faut un doliprane,
Sa se bart en alcoolo,
On baise la garde a v' comme un clodo,
T'arrive menoter peter aux urgences avec des croc de crados,
On ne sait meme plus parler je sais que vous vous en fichez,
Le visage cacher,
Dans les reportages de condes on ne fait que s'afficher,
Justifier les cliches,
Fiche Fichu le quartier est cuit,
On est tous des maillons faibles c'est desolant comme notre Q.I,
Et meme nos petites reus deviennent des kai faut leur mettre des baffes,
Elle joue les chaudes en centre de reeducation sorti de la maaf,
Devienne des meufs a voyous des michtonneuses a fond dans la came,
Des boites branchees de paname au festival de Cannes,
Elles oublient qui elles sont de qui elles viennent,
D'ou elles viennent tiennent,
Peu de choses de leur meres elle pensent qu'a faire les chiennes,
Se tortiller certaines refuse de se servir de leur deux mains,
De peur d'abimer leur vernis et se sont les meres de demain, (hein)
Ses graves comment l'argent a evincer les vrais valeurs,
Du haut dealeur au voleur,
Se repentir avant le malheur,
Et s'ecarter des troupeaux contaminer qui rejete les precepes,
Rien qu'on accumule les peches qu'on indignes nos ancetres,
Plus de diplome ni de formation plus de carriere sportif,
Pour rester actif,
Monte une assos' a but lucratifs,
Tu peut etre coursier livrer des pizzas a domicile,
Porter des cartons ... au marcher ouais de vigile,
Sinon t'on bras s'illicite mais pas en quinze minutes,
Les smicards les batards te felicite quand tu debute,
Tu sais pertinament que tu tfra peter ya pas de combine,
Tes parents ta copine,
Passent soixante douze heures a la crim,
Emprunte photo traitee au labos,
Les balances sauvent leur peau,
Colabo' des pont investigation a l'hispo,
Tu demmare sur les chapeaux de roues sans chrono,
Vivre tout ce temps pour mourir ree-bou sur des tonneaux,
Une pensee au sucide et aux mitar au lacets,
Depassez par les evenements lassee de ce destin glacee,
Les closes trop frustres ce qui brule leur cellules,
Partent tout seul en promenade s'auto mutile pour une pillule,
Taf une piece de theatre dans les coulisses sa ricane,
Les memes anciens idolatres qui t'avance de la cam,
En centre de detention en caval jusqua la prescription,
En previsoire tenue en laisse par le comite de probation,
Les braqueurs font la queue devant les banques c'est sans espoirs,
Deux trois dans la journee butine au comptoir,
Aux assises c'est les encheres qui dit mieux, "10 15 ans 20ans"
Mes potes on trop residives on se reverra quand on sera vieux,
Bien le thelematon dans la poche,
Ta rater le coche,
Ton destin n'a jamais lever le pied sur la ville de gauche,
A deux quatre vingts sur la A6 si si si sans freins,
Sous flash flashe par le proc choriste du juge au refrain,
Et ta femme te remplacera par un type du meme type qu'est ce tu peux faire,
Il l'acompagnera au parloir srhab t'est son frere,
Ton co-detenu c'est avec qui elle couche,
Qui est la touche,
Tu pense a elle tu touche,
T'est game over sur la touche,
Pour ta daronne c'est bien plus douloureux qu'un valoir fantome,
Elle culpabilise or c'est la rue qui ta filer le symptome,
T'en veux a ton baveux il en demande toujours plus,
Pour fumer faut te coffrer jusqua t'dilater l'anus,
Moi je peux pas te dire j'en ai rien a battre,
Mes frere se rabattent,
Du cote du diable et vivent que pour se habbate,
Pour une tasse ils sabotent pour un client il crabote
A coup d'sabate sans vendre ses pattes,
Dans la violence veulent plus se battre,
Maitenant ils s'abattent sans somation s'enbattent,
La race c'est le pire c'est qu'on s'adapte,
Plus le temps de re-pleu il pleut les air max plein de gadoues,
Ferme la porte du haut il caille wesh sinon t'est un gars d'ou,
Chacun ses antecedents sont jugement son temperament,
Chacun son mandat son parloir son enterrement,
Sa mere en deuil ses peches sa salade,
Ses hessenetes sa cogite ne me raconte pas de salades,
Les ghetto metiers restent illusoirs y en a pas un qu'aboutit,
On gagne pas l'argent a l'assure de ces outils,
La taule t'abbrutit,
Ten veut plu de la raison,
Rafermi t'est mauvaises passions,
Fascine par les ancien et leur expressions,
Ta mere miskina au bord de la depression,
J'appelle "la racaille" une serieuse remise en question,
Pour se ranger ya mieux que l'argent ya la religion,
Se retirer des guettos legions,
Pourquoi pas quitter la region,
Quand t'est au bout du rouleau,
Que le systeme met la tete sous l'eau,
Soulee a chercher du boulot,
Roulee des joins se faire interpeler,
Par ces batards de poulet en chemins,
Dans l'angoisse trainer la poisse comme un boulet,
Comme un ancien qu'a couler,
En chien qui se fait des roulee,
Peur qu'on te dit frangin faut tailler avant de s'ecrouler,
Se faire trouee crouee a vie echouer,
Vivre du RMI sans veritable ami pour te secourir ou te secouer (Hewa hein),
Pour te changer ya pas de formules secretes,
Je suis pas la pour t'inciter mais pour te dire des choses concretes,
Avec veracite.
Rohff
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