Il me revient en memoire, Il me revient en memoire, Il me revient des images, Un village, Mon village. Il me revient en memoire, Je ne sais pas, Comme
Je ne t'attends pas au bout d'une ligne droite: tu sais, il faudra faire encore des detours et voir passer des jours et des jours, mais sans que rien
Une rengaine, un refrain, Quelques notes au matin, Un tout petit zinzin, Charmant petit zinzin, de rien, C'est peu, c'est bien, Une rengaine a midi,
Du plus loin, que me revienne, L'ombre de mes amours anciennes, Du plus loin, du premier rendez-vous, Du temps des premieres peines, Lors, j'avais quinze
A voir tant de gens qui dorment et s'endorment a la nuit, Je finirai, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi. A voir tant d'yeux qui se ferment, couches
J'ai eu tort, je suis revenue dans cette ville loin perdue ou j'avais passe mon enfance. J'ai eu tort, j'ai voulu revoir le coteau ou glissaient le soir
Je m'invente un pays ou vivent des soleils Qui incendient les mers et consument les nuits, Les grands soleils de feu, de bronze ou de vermeil, Les grandes
Jamais la fin d'ete n'avait paru si belle. Les vignes de l'annee auront de beaux raisins. On voit se rassembler, au loin les hirondelles Mais il faut
Tu me fais des nuits et des jours Et des jours et des nuits d'amour. Toi, je le sais, tu pourrais meme M'ensoleiller sous la pluie meme. Avant toi, d
Va. Ce monde, je te le donne. Va. Jamais n'abandonne. C'est vrai qu'il n'est pas a l'image De reves d'un enfant de ton age, Je sais. Le monde a des accents
Si je t'ecris ce soir de Vienne, J'aimerais bien que tu comprennes Que j'ai choisi l'absence Comme derniere chance. Notre ciel devenait si lourd Si je
Bien sur, ce n'est pas la Seine, Ce n'est pas le bois de Vincennes, Mais c'est bien joli tout de meme, A Gottingen, a Gottingen. Pas de quais et pas
Avec des yeux plus grands que le ventre, Avec des mots plus grands que le c?ur, Ils entrent dans notre existence Cote tendresse, cote c?ur. Ils nous
Y a un arbre, je m'y colle, Dans le petit bois de Saint-Amand, Je t'attrape, tu t'y colles, Je me cache, a toi maintenant, Y a un arbre, pigeon vole
Ca ne previent pas quand ca arrive Ca vient de loin Ca c'est promene de rive en rive La gueule en coin Et puis un matin, au reveil C'est presque rien
La-bas, rien n'est comme ici. La-bas, tout est different. Pourtant, les chats aussi sont gris Et les lilas blancs sont blancs Mais l'amour, s'il est
Le jour ou tu viendras, le jour ou tu viendras, Le jour ou tu viendras, ne prends pas tes bagages. Que m'importe, apres tout, ce qu'il y aurait dedans