: You've seen it all a thousand times (you've seen it all a thousand times), you've heard it all before (you've heard it all before). You've danced the
: She May be the face I can't forget A trace of pleasure or regret May be my treasure or the price I have to pay She may be the song that summer sings
: Il n'est jamais aise de juger sur la mine Nous ne choisissons pas, on est choisi par eux Qui se font une tete d'imbecile heureux Et nous donnent le
: Un corps pour m'etendre a cote Dans l'ombre, epaule contre epaule Un corps fremissant que je frole Avant que de le posseder Un corps pour me pencher
: J'ai ouvert les yeux sur un meuble triste Rue Monsieur Le Prince au Quartier Latin Dans un milieu de chanteurs et d'artistes Qu'avaient un passe, pas
: Dans le contexte hypersexue De notre convivialite Mon voyeurisme instinctuel Te offre un statut preferentiel Car le pouvoir erectogene De tes milles
: Assis sur le pont de pierre Qui enjambe le ruisseau Je regarde solitaire Courir l'heure et couler l'eau Hier tu m'as ferme ta porte Et ton coeur a
: Je ne pouvais rien Rien moins que t'aimer Toi qui m'apportait Plus que tout au monde Et suivait du doigt mes rides profondes D'un oeil amuse Je ne
: Aa?iay e?aiau, aa?iu iu auee ae, Ii a?aiy cei aey iaiyoe iiae, ?ai aieuoa aiae, aeoa?a ?aia a iae. Ana neiaa e?aae a ecio?aiiuo na?aoao Neeeenu a
: Une vie d'amour Que l'on s'etait juree Et que le temps a desarticulee Jour apres jour Blesse mes pensees Tant des mots d'amour En nos coeurs etouffes
: Yesterday, when I was young, The taste of life was sweet, as rain upon my tongue, I teased at life, as if it were a foolish game, The way the evening
: Etre, renaitre ma naissance Dans une aube de craie Sous la lune de sang Aux termes d'un hiver mourant Etre, emerger du silence Voir briller au soleil
: Tu vis dans un silence eternel et muet Je traduis tes regards et lis dans tes sourires Interpretant les mots Que tes mains veulent dire Dans ton
: Marie, quand tu t'en vas, Tous mes soleils se cachent, Et mon ciel s'obscurcit, Les ombres font des taches, Sur les murs de mes nuits, Marie,
: Toi je ne connais que toi Depuis qu'un matin froid M'a jete sur ta greve Toi depuis toujours a moi Et pour toujours ma joie Le temps de cette vie trop
: Voila que tu reviens, Sans une explication, Apres deux mois d'absence, Et sans complexe aucun, Tu rentres a la maison, Crispante d'insolence,
: J'ai travaille, Des annees, Sans repit, Jour et nuit, Pour reussir, Pour gravie, Les sommets, En oubliant, Souvent dans, Ma course contre
: Ils sont tombes sans trop savoir pourquoi Hommes, femmes et enfants qui ne voulaient que vivre Avec des gestes lourds comme des hommes livres Mutiles