: Quand tu iras a Paris, je te donnerai un mot Que tu voudras bien porter a mon petit bistrot C'est la-bas, rappelle-toi, qu'on s'est connu, lui et moi
: Sous mes pieds mes s'mell's se derobent On voit l'jour a travers ma robe Mon corsage est tout rapiece Et mes effets tres fatigues Qu'import' ce qu'
: Le plus beau moment de ma vie Charmaine, c'est vous C'est vous dont jamais je n'oublie Les yeux si bleus si doux C'est vous qui malgre mes folies
marche Il me dit toujours T'es mon grand amour Je marche, je cours Pour la rendre jalouse je courtise Son amie Virginie En reponse je fais d'loeil par surprise A Lucien
: J'ai reve de vous Sous le ciel si doux des nuits etoilees, J'ai reve de vous Sur le sable chaud des greves dorees... Encore grise du souvenir de nos
: Les abandons vois-tu sont des choses legeres Et que l'on prend toujours beaucoup trop au serieux Lorsque tu m'as quitte je croyais bien mon cher Me
: Jambalaya crient les Indiens qui se rassemblent Jambalaya repond au loin l'echo qui tremble Et soudain sur les eaux ou tout danse On voit filer les
: Tu m'as menti et trompe plus que personne Je te pardonne, je te pardonne Mais ce soir notre passe se dechire Je vais te dire lequel est ton vrai nom
: Ce n'est qu'un refrain familier Que chante au soir un gondolier Mais qui fait revivre en nos c?urs Un merveilleux bonheur Souviens-toi de ce tango
: Une rue qui penche Un bal sous les branches C'est un vieux moulin Qui ne moud plus de grains Sous ses grandes ailes Les filles sont belles C'est un
: J'ai rencontre Dans mes voyages Des paysages Sensationnels J'ai regarde Couler le Tage J'ai vu Carthage Sous le soleil Il y avait Trop de lumiere
: Je t'avais et pour toujours Donne mon ame et toute ma tendresse Croyant en retour avoir ton amour La vie est cruelle et traitresse En rentant chez
: C'etait un gamin, un gosse de Paris, Pour famille il n'avait qu' sa mere Une pauvre fille aux grands yeux rougis, Par les chagrins et la misere Elle
: Les bleuets d'azur Dans les grands bles murs Nous font des clins d'oeil Au bord du clocher La pie vient percher Sa robe de deuil Seul, le vent du mois
: Mon coeur est un violon Sur lequel ton archet joue Et qui vibre tout du long Appuye contre ta joue Tantot l'air est vif et gai Comme un refrain de
: 1 - Je ne sais pourquoi j'allais danser A Saint-Jean au musette, Mais quand un gars m'a pris un baiser, J'ai frissonne, j'etais chipee Comment ne pas
: {Refrain:} Ou sont tous mes amants Tous ceux qui m'aimaient tant Jadis quand j'etais belle ? Adieu les infideles Ils sont je ne sais ou A d'autres
: Au vent de juillet La mer effeuillait Les vagues bleues des vacances, Et dans la clarte, Le sable dore, Je vous ai demande : Quel temps fait-il a