: E la vita in fondo al mar Oni e le grand esrprit de toda notre mer Tambien la gens qui dit ole ole Italia mon amor do re mi fa Sy no sei la figlia
c ?qui parait qu?on dit qui s?la pete n?a pas d?talon d?achile belek parait qu?on interprete a la gachette facile y devrait passer sur B.E.T. cherche
la merde, j'vois tous les crews lestes au fond d'une riviere. Moi j'ai pas une voix d'miel, j'ai pas d'e-mail, j'torpille l'industrie, j'pille, fonctionne
c'est l'histoire d'un amour Ma complainte c'est la plainte de deux c?urs Un roman comme tant d'autres Qui pourrait etre le votre Gens d'ici Ou bien d'
fait pour qu'on m'libere, Adolescence sans pere, ma mere blindait le frigidaire. Crise identitaire, je n'me sentais pas francaise. Peu m'importait la 2e
'allechante Allez chante ta putain d' peine et que les gens la ressente Car les gens me ressemble, et dans le fond les gens saignent Je le sais, dans le fond les gens
: (F.Porterie-Images/E.Wandelmer) Dans le secret de ton regard tranquille Des doigts poses sur une machine docile Ton reve d?enfant Prend vie sous tes
questa cadenza ci trascina e non pensiamo piu a nulla fra questa gente colta che impiega continuamente senza fallo congiuntivi, preservativi e formule di cortesia e
ci metti una mano, te la trasformano in un bouquet di fiori ecco qua dei fiori per te, e di sicuro e la prima volta Probablement mener cette danse comporte
, x2} Je viens de la ou comme partout, quand on dort, on fait des reves Je viens de la ou des gens naissent, des gens s'aiment, des gens crevent Tu vois
on s'enlace, Va, va, sur la piste, Vals'e gaie, vals'e triste... Va, va, c'est une valse, De rires, de grimaces Et puis d'amusettes, Un'e vals'e musette
gare, Un hangar : Gar'e du Nord, Gar'e de Lyon, Gar'e Centrale, C'est un port, un'e prison, c'est les Halles... Mon ticket Pour ton quai Ou les gens
on s?rencontre un instant, On parl?e de la pluie et du temps Avec, entre nous, la pudeur ! Ma mere, Si j?ai fait cett?e petit?e chanson, C?est que ca
du cul bien rond, Dites-moi pourquoi les mulets Font des crottes carrees?" Quand ell'e se pointera, l'Heur'e Fatal'e, Ou les os bouff'ent la viand'e
dans ma tour d?ivoire, Fair?e des grimaces a mon miroir. Je n?veux plus, au fond de mon ile, Me r?garder pousser le nombril. La solitude, c?est comm?e
, sa chacune Car, a la pleine lune, Le lit est bien trop grand. Un village, C?est la pauvresse en cloque, Les sourires equivoques De tout?es les « braves » gens
pas aimes: Vingt ans de peur, y a pas d'feu sans fumee, Et ce feu-la, fragile, je te le garde, Ma femme, Et puis, conjugalement parlant, On ne ressemble pas a ces gens
Les fantomes sortent, Quelque part, a Paris, Ils restent transis, Sur le pas des portes, Car les gens de Paris, Au fond de leur lit, Comm'e des natures