chapeau, Tu n'ecrase pas tes megots, Tu mets le feu a la chambre, Tout est reduit en cendres, De ma vie de hibou, Il ne reste rien du tout Mais pour tes
d'danger que j'pleurniche Sur ma vie de potiche J'me f'rai pas supplier Pour le suivre en silence Avec le chien d'faience Et le valet muet, Avec le bas
Dans ma chambre d'hotel Je souffle la chandelle J'entends un petit bruit C'est une blatte Cet hotel est infect Pourri d'insectes Cette petite blatte-
le ponpon, Je risque le plomb A brailler Et le ciel me repond Une pluis de postillons, C'est un temps de saison Vous croyez ? O ma douceur... En passant sur le
L'ombre de son parfum Tout un jardin Elle est deja loin Elle n'est plus qu'un point Et c'est le desespoir Papillons noirs... Car sur le gueridon Griffone
'est apparu Que j'ai un cote malsain Donnant sur la rue. Sous mes lunettes en ecaille, Je louche un p'tit peu Du cote de la canaille Timide et honteux. Et du
. Maudissant ton nom Car, du cabanon, Tu me fais prendre le chemin. Et les tours d'horloge ... Et puis tu reviens Dans mon quotidien, J'apprends pas le carnet du jour
soir Apres minuit ? Quand sur le trottoir, Dans l'herbe de la nuit, S'ouvre la fleur noire d'un parapluie, Elle fume sa tige Et donne le vertige Montrant
recopier Tout ca sur le gazon. Si un autre canasson Vient mettre le desordre, Il me reste la corde, La balle ou le poison. Si ce vieux Bucephale N'est
autre nous jette, Sous votre nez, J'prends la monnaie Avec mes pincettes. Une belette Escalade mon mur, J'me croyais le coeur au sec. Mais le sucre fait
sous on linge, Mon coeur fait le singe, J'me creuse les meninges Et ma conclusion C'est qu'on est bete Quand on est amoureux Le poisson fretille, Le